Il encore tapissé sa chambre avec sa merde.
Il est 22 heures. L’odeur me frappe le nez, et je constate le carnage. Il y en a du sol au plafond. La rage me fait trembler les mains, puis presque immédiatement, une immense tristesse m’envahit. Je le porte dans la salle de bain, je le lave, et je le couche dans une autre chambre en l’embrassant. Je prends un seau, de la Javel et une serpillière, et je nettoie en pleurant.
Mon fils a 5 ans, il est autiste. Je l’aime.
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