Note d'André: cet article a été écrit par Jean-Luc Durand du blog Le Roi de l'Audience. Je lui laisse la place:
Vous êtes-vous déjà demandé qu’est-ce qui fait qu’un texte, sur un livre, un journal ou un blog, retient votre attention ?
Qu’est-ce qui force le lecteur à aller jusqu’au bout ? Qu’est-ce qui le scotche littéralement à sa page, sa feuille ou son écran ?
Allez, avouez-le, vous aimeriez bien savoir. Parce que vous–même vous écrivez. Parce que vous aussi vous rêvez que votre prose ait le même pouvoir magnétique.
La solution tient dans une devinette. Qu’est-ce que l’écrivain, le journaliste et le blogueur ont en commun ?
Réponse : ils doivent captiver.
Oui, captiver. Dans ce mot, il y a « captif ». Le lecteur doit être enfermé dans votre univers. Il ne doit pas vouloir s’en échapper. Son attention doit être toute entière tournée vers votre article.
Car si le lecteur n’est pas subjugué par ce que vous écrivez, il lit en diagonale et ne revient plus jamais.
Mais si vous parvenez à capter son attention, bingo, vous avez gagné. Il ira jusqu’en bas de la page et a de fortes chances de s’inscrire à votre liste. Il partagera votre contenu. Et il achètera vos produits.
C’est le début du cercle vertueux du succès.
Et ce n’est pas un détail. Comprenez bien que captiver est aussi important que d’apporter des informations utiles au lecteur. Aussi bien écrit soit-il, un texte déçoit s’il se résume à du verbiage. Certains marketers sont très fort pour cela : publier un pavé de 200 pages pour n’enfoncer que des portes ouvertes.
Donc bien sûr, votre post doit résoudre un problème. C’est une condition nécessaire mais pas suffisante, car malheureusement vos concurrents le font aussi.
Alors comment faire ? Comment écrire l’article de blog que le lecteur n’oubliera pas ?
Vous vous dites sans doute que c’est difficile, car nous n’avons pas tous le talent d’un gagnant du prix Goncourt. Honnêtement, oui, ça demande un peu de travail. On n’a rien sans rien.
Mais ce n’est pas du tout impossible si vous connaissez les bonnes techniques. C’est tant mieux car écrire de façon captivante est le passage obligé pour devenir blogueur. Et cela vous sera utile même si vous faites surtout des vidéos, car les concepts sont les mêmes.
Alors voici quelques pistes que j’ai suivies et que j’ai envie de partager avec vous.
1. Ecrivez avec sincérité
Inutile de se le cacher, nous les blogueurs, nous créons un site par passion du web, mais aussi parce que nous espérons plus ou moins en tirer profit, directement ou indirectement.
Moi-même par exemple, j’ai (entre autres) un blog sur la science-fiction, d’abord parce que j’aime cette thématique, mais aussi parce que mon rêve est d’être écrivain. Donc j’attends du site qu’il m’aide à me constituer un lectorat.
Le plus souvent, l’objectif ultime est de vendre un produit : un livre, une formation, ou un service.
Mais si les internautes pensent que c’est la seule chose qui vous motive, ils s’en iront pour ne plus revenir.
Par exemple, vous n’êtes jamais tombé(e) sur une critique dithyrambique, genre « ce truc est GENIAL », qui se termine par un lien affilié ? Moi ça m’agace…
Alors, s’il vous plait, dites ce en quoi vous croyez vraiment. Restez honnête. Ne croyez pas que les lecteurs ne s’en rendent pas compte.
Etre honnête, cela veut dire ne pas montrer uniquement les avantages d’un produit. C’est savoir reconnaître que dans certains cas il ne convient pas.
C’est tout simplement écrire pour aider les autres, de façon désintéressée.
Pour y arriver, imaginez que vous parlez à un ami. Un très bon ami, en qui vous avez confiance et à qui vous ne mentiriez pour rien au monde.
Cela aura un impact, car l’internaute moyen se sent rarement reconnu. Il veut qu’on parle de lui autant que de vous. Il attend qu’on comprenne ses problèmes, pas de passer à la caisse. Il doit être rassuré, mis en confiance.
Et si vous inspirez cette confiance, non seulement vous fidélisez le lecteur, mais vous créez aussi les conditions d’un achat – si vous vendez quelque chose bien sûr.
Le lecteur qui croit en vous est votre futur client.
2. Ecrivez avec émotion
Mais la sincérité seule ne suffit pas. Il manque quelque chose qui bouscule le lecteur. C’est l’émotion.
Sans elle, un texte est profondément ennuyeux. On a vite envie de passer à autre chose.
Alors oui, à l’écrit les émotions sont plus dures à exprimer, mais si votre lecteur les perçoit, il ne vous oubliera pas.
Il doit sourire, rire, et même pleurer s’il le faut. Faites-le toujours en racontant la vérité – ne mentez pas, cela risque de se voir. Un exemple d’article émouvant ? En voici un, écrit par André Dubois.
Des émotions oui, mais des émotions positives. Personne n’aime un blog perpétuellement déprimant. A quoi bon se plaindre de votre sort ? Au contraire, vous devez apporter l’espoir. Si c’est l’inverse, mieux vaut changer de style ou ne pas écrire du tout.
Vous voulez des idées ? Lisez des lettres d’amour. Lisez des plaidoiries d’avocat au pénal. Vous découvrirez que les mots peuvent véhiculer beaucoup plus que de l’info pure.
Oui, désolé de vous le dire, mais si vos textes sont froids comme un manuel de comptabilité, vous aurez beaucoup moins de trafic.
3. Faites ressentir des sensations
Voilà une chose qui désespère les parents, mais les enfants sont plus facilement accros à la télévision qu’à la lecture. A cause des sensations, visuelles ou sonores, qu’ils ressentent.
On peut traduire ces sensations par des mots. Les grands écrivains excellent dans cet art. Mais pas besoin d’en être un pour comprendre l’exemple que je vais vous donner.
Je vais vous raconter un souvenir de deux façons. Voici la première.
Je me souviens, il y a cinq ans, quand ma future femme et moi étions en vacances en Grèce. Le soleil éblouissant nous brûlait la peau. Nous avions trouvé une plage pour nous tous seuls, avec un petit coin ombragé. Un vieux bateau de pêche à la peinture bleue décrépie était échoué dans le sable. Je me suis baigné. Flottant dans la fraicheur de l’eau, son goût salé dans la bouche, et doucement bercé par les vagues, j’ai pensé : « il n’y a aucun autre endroit au monde où j’aimerais être plus qu’ici ».
Maintenant, la seconde :
Un super souvenir que j’ai, c’est mon séjour en Grèce en 2011. Ouais c’était trop top.
Vous comprenez ? La première version du récit est vivante. On ressent ce que le narrateur exprime. Alors que la seconde n’apporte rien. Elle est trop courte, parce que le rédacteur ne s’est pas trop fatigué. Elle n’intéresse pas. Elle ne fait pas rêver.
Un bon écrivain donne des détails. Il décrit les bruits, les sons, les odeurs, les sentiments. Car ils permettent de mieux se représenter la scène. On peut s’y immerger comme si on y était.
Faites cela, et vous captiverez vos lecteurs.
4. Ecrivez pour créer un lien
J’ai parlé de la nécessité d’être sincère et de ne pas passer pour un commercial. Vous allez me dire : tout ça c’est très bien, mais comment vendre alors ?
Eh bien il y a un moyen, celui qu’utilisent les vendeurs vraiment bons : créer un lien avec le lecteur.
Cela veut dire qu’il doit avoir l’impression de connaitre personnellement le blogueur. Dans ce cas, il se sentira en confiance.
Et ça n’est pas si compliqué. Vous devez simplement casser le côté impersonnel du blog. Voici quelques pistes.
D’abord il ne faut pas se cacher. Donnez votre nom. On doit sentir que derrière le site, il y a une personne.
De même, montrez votre photo, ne soyez pas timide. Sur celle-ci, le mieux est d’avoir un style pas trop banal. Personnellement j’aime bien ma tête avec des lunettes de soleil.
Bien sûr, il faut donner une image adaptée à votre thématique, sous peine d’être ridicule. Vous imaginez l’auteur d’un blog sur la finance posant avec un déguisement de clown ? Mais pour parler du cirque, pas de problème.
Décrivez-vous aussi un peu, et parlez de temps en temps de vos expériences personnelles. Cela donne au lecteur l’impression d’avoir partagé des moments avec vous.
Inutile d’en faire des tonnes et de dévoiler sa vie privée. Le lecteur se fout de la marque de votre voiture. Le tout est de paraître humain, accessible.
Ensuite, sur la forme, l’originalité paye. Elle vous distingue la masse des sites qui présentent tous les choses de la même façon.
Par exemple, j’en ai lu un où le narrateur parle de lui à la troisième personne. Amusant, et efficace pour marquer l’esprit de l’internaute.
Autre chose encore. Se connecter, c’est n’est pas seulement dévoiler des choses sur soi. C’est montrer qu’on s’intéresse à l’autre, qu’on a à cœur de l’aider à résoudre ses problèmes.
C’est pourquoi vos lecteurs apprécieront aussi que vous répondiez à leurs emails, dans la mesure du possible évidemment.
5. Racontez une histoire
Selon vous, quelle est la meilleure façon de parler de quelque chose à quelqu’un ?
Une façon à la fois intéressante et facile à retenir ?
C’est de le faire sous forme d’anecdote. La petite histoire courte qui véhicule un message. Celui qui la lit s’imagine la scène. Il s’en souviendra d’autant mieux.
Dans cet article par exemple, j’en ai glissé une, celle de mes vacances en Grèce. Elle n’est pas longue mais a plus de poids que deux pages à vous vanter le charme de ce pays.
Parlez de votre vie, des moments où un évènement vous a fait changer de point de vue. Parlez de ce qui vous a ému.
Parlez de vos difficultés dans un domaine et comment vous les avez résolues. Montrez que vous n’êtes pas infaillible, et le lecteur se reconnaitra en vous, car il ne l’est pas non plus.
Et ne croyez pas que votre petit univers n’intéresse pas le lecteur. C’est tout le contraire.
6. Lisez des textes qui vous transportent
Si pour vous écrire n’est pas totalement naturel, il y a une chose qui vous aidera énormément : lire.
Laissez tomber les séries télé un soir ou deux par semaine. Elles ne vous servent à rien. Le blog est un média écrit, il faut donc que vous pensiez « écrit ».
Que lire ? D’abord d’autres blogueurs. Observez comment certains sont profondément soporifiques (non, je ne citerai pas de noms) et d’autres captivants, et recherchez pourquoi.
Lisez aussi des articles de presse, notamment sur les sites des grands journaux, dans les rubriques “opinion”. Vous y trouverez des articles où des journalistes s’efforcent de vous convaincre de quelque chose. Observez comment ils s’y prennent, quel ton ils adoptent, quel vocabulaire ils emploient.
Voyez notamment la façon dont ils s’adressent au lecteur. Est-ce qu’ils posent souvent des questions ? Personnellement j’adore ce procédé. Est-ce qu’ils disent « vous » comme s’il s’agissait d’un dialogue, ou parlent-ils de manière impersonnelle ?
Lisez et petit-à-petit, des formulations, des figures de style vont vous venir spontanément quand vous écrirez.
L’objectif de cette technique est de s’inspirer des autres. Bien sûr, il ne faut jamais recopier du texte mot à mot, cela s’appelle du plagiat.
Et pour que vos lectures soient utiles, il faut des textes de qualité, pas la feuille de chou gratuite qu’on distribue dans le métro. Comme les revues où l’on parle du fond et pas de la forme.
Lisez des auteurs reconnus. Et vous parviendrez à en devenir un vous aussi.
7. Ecrivez un peu chaque jour
C’est le pendant du point précédent.
Beaucoup de grands blogueurs s’astreignent à écrire régulièrement. Exemple : Srinivas Rao qui a un quota de 1000 mots quotidiens (article en anglais).
Bien sûr, le temps de prendre cette habitude, vous aurez un peu de mal. Inutile de vous mentir, vous aurez plus envie de regarder la télé que d’aller vous assoir devant votre ordinateur. Mais ça, c’est au début.
Car en écrivant quotidiennement, l’inspiration et le plaisir de créer vont lentement mais sûrement se développer en vous.
Pondez 500 mots par jour, et au bout de quelques mois, croyez-moi, vous finirez par vous ennuyer sacrément devant une télévision. Vous aurez envie d’écrire tout ce qui vous passe par la tête.
C’est du boulot, oui. Vous êtes déçu(e) ? Oubliez le discours des marketeurs peu scrupuleux et l’arnaque de la semaine de 4h – ceux qui se sont fait avoir comprendront à quoi je fais allusion. Pour faire votre trou dans le blogging, il faut vous en donner les moyens.
C’est en forgeant qu’on devient forgeron.
8. Lâchez prise
Au début de votre carrière de blogueur ou de blogueuse, vous n’allez pas écrire naturellement. Vous allez, consciemment ou non, essayer de briller dans votre style, d’impressionner le lecteur. Vous chercherez aussi à ce qu’on vous aime, c’est naturel.
Faites-moi plaisir, et oubliez tout cela. Pour bien écrire, c’est très simple.
C’est un peu comme au ski où on vous enseigne de ne pas décomposer les mouvements, sans quoi vous finissez le nez dans la poudreuse.
Laissez-vous aller et écrivez spontanément, comme si vous parliez. C’est cela qui va plaire au lecteur. Votre prose gagnera en fluidité. Et vous vous rendrez compte que rédiger, finalement, n’est pas si difficile.
Ecrire est quelque chose de fondamentalement personnel. Appliquer des recettes c’est bien, mais il faut surtout dire les choses avec vos mots à vous. Quand on copie trop le style de quelqu’un d’autre, les lecteurs le sentent.
Donc, employez vos propres mots, vos propres métaphores, et utilisez le ton qui vous convient le mieux (humour, sérieux, etc.).
Pour être inoubliable, votre article doit être unique. Et pour être unique, il doit être le reflet de votre propre personnalité.
OK, et si vous avez malgré tout besoin d’aide pour trouver les bons mots ?
Imaginez quel est le lecteur type de votre blog. En fonction de votre thématique, visualisez une personne, son profil, son âge, ses attentes. Si elle était devant vous, comment lui parleriez-vous ?
Seriez-vous familier ou professionnel ? Oseriez-vous plaisanter ? Utiliseriez-vous un vocabulaire très technique, ou au contraire un ton pédagogique ? Réfléchissez à cela, et écrivez en fonction.
Par exemple, si votre blog traite de cuisine, votre public sera plutôt féminin – non, ce n’est pas du sexisme, c’est un fait. S’il parle de musique pop, plutôt adolescent. S’il parle d’épargne-retraite, plutôt en fin de carrière.
Adaptez-vous en conséquence. Les blagues un peu légères, par exemple, font plus rire sur un blog dédié à la mécanique automobile que sur un autre consacré à la mode, question de profil de lecteur.
9. Soignez votre titre
On pourrait écrire un livre sur la façon d’écrire un titre. D’autres l’ont déjà fait en détail (abonnez-vous à TraficMania pour recevoir un excellent ebook gratuit sur le sujet), mais essayons de synthétiser.
Pourquoi le titre est-il important ? Et pourquoi en parler ici, alors que le sujet est le contenu du post ?
Parce que c’est la première chose que voit l’internaute. C’est ce qui le décide à cliquer sur un article ou pas. Il doit donc le frapper – au sens figuré bien sûr
A quoi bon un article génial s’il n’est pas lu à cause d’un mauvais titre ?
Voici quelques formules qui ont fait leurs preuves :
- Une question qui commence par « comment… ». Cela sous-entend que vous allez montrer comment obtenir un résultat. Or c’est cela que veulent les lecteurs. Exemple : « Comment obtenir 2000 vrais followers sur Twitter ».
- Une liste de points à faire ou ne pas faire. Elles marchent très bien parce qu’elles font plus « concret » et sous-entendent que l’article va à l’essentiel, sans bla-bla. Exemple : « Les 5 conditions pour réussir à coup sûr un soufflé » ou « Les 7 erreurs à éviter avec WordPress ».
- Une phrase polémique : « Pourquoi je gagnerai toujours plus que vous ». Réaction garantie, à condition bien sûr de ne pas abuser non plus dans la provocation.
- Le « secret » dévoilé : « 5 choses que vous ignoriez à propos du running ».
- Un aveu qui vous concerne, d’autant plus efficace qu’il est assumé : « Je suis flemmard, et alors ? ».
- Un bénéfice que le lecteur va tirer de votre article : « Où investir pour maximiser sa plus-value ».
Dans tous les cas, le titre doit rester le plus court possible. Tout ce qui est bref est frappant. Sauf rares exceptions, un titre long est un titre raté.
10. Soignez la présentation
Bien écrire, c’est le fond. Bien présenter son texte, c’est la forme. Faire les deux, c’est l’idéal.
Dans ce domaine, c’est le thème de votre blog qui jouera un grand rôle. Il détermine les polices de caractères utilisées, leur taille, les couleurs, le nombre de colonnes, etc.
Sachez par exemple qu’une fonte de grande taille est plus efficace, avec un large espacement vertical entre les lignes. Les petits caractères amassés les uns à côté des autres fatiguent l’œil. Vos lecteurs vous remercieront.
Mais ici je voudrais plutôt attirer l’attention sur la rédaction elle-même.
L’idée, c’est d’écrire d’une façon agréable à lire.
Comment faire ?
Une bonne lisibilité commence par des phrases courtes. Pitié, les tirades à rallonges façon Marcel Proust sont dépassées au XXIème siècle.
La mise en page doit être aussi aérée. Vous imaginez un article de 2000 mots sans un seul retour à la ligne ? Donc faites des paragraphes, en gardant ceux-ci les plus courts possibles. Par exemple, voyez l’article que vous êtes en train de lire.
Autre chose. On a déjà parlé des titres. Parlons aussi des sous-titres. Vous savez, les balises H2, H3, H4 sous WordPress. Elles permettent d’annoncer et de structurer vos idées, et jouent en plus un rôle important pour le SEO. Alors utilisez les sans modération.
Quant aux images, elles rompent la monotonie du texte et appuient votre propos. Exemple type : un graphique.
Le problème, c’est quand il y en a trop : le lecteur perd le fil de votre explication, ou (pire) pense que vous cherchez à faire du remplissage.
Alors oui aux illustrations, mais avec des photos de qualité, pertinentes et pas trop nombreuses.
Et pensez aussi aux citations ou aux artifices visuels comme les boites colorées : utilisés avec modération, ils donnent de la gaîté à votre blog.
Une dernière chose
Bien écrire n’est pas une science exacte. Un même texte peut captiver un lecteur et faire bailler un autre.
Alors ne vous découragez pas. L’article inoubliable est à votre portée. Mettez toutes les chances de votre côté, lisez, écrivez un peu tous les jours, et tôt ou tard vous deviendrez un(e) pro.
Retrouvez Jean-Luc Durand sur son nouveau blog, le Roi de l'Audience, et téléchargez son guide "14 contenus pour attirer des lecteurs sur votre blog".
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